Archives de catégorie : société

24 décembre 2004: Homeland Security

Sometimes, people have weird attitude. Per example, if I was a terrorist, do you think that I would really waste my time with staffed railway yards or other transportation hubs? Railfans are the railroaders best friends. They’re everywhere and usually, they know what is going on their hobby locations. If something strange happens, they will notice it. Why some people are giving shit between us rather than standing united? Railroads are operating in the open. Remember: the same rolling stock and power might be seen in yards, but also trackside in a remote location and not really safer there.

Merry Christmas

23 décembre 2004: Diverses observations

Aujourd’hui, plusieurs sujets sont au menu. Premièrement, est-ce que je suis le seul à trouver que Bryan Adams est rendu un véritable gros quétaine? Plus qu’il vieillit, plus qu’il rempire. Dommage, car il avait du bon sens au début.

Également, j’aimerais souligner que le NPD fait des bons coups des fois. J’approuve l’idée d’importer le concept américain d’une loi anti-télémarketing. Il y a toujours bien des limites à être achalé à se faire vendre 56 traitements de pelouse et se fait abonner à un journal auquel on est dejà abonné! Nos gouvernements sont trop interventionnistes. Rien de trop neuf, mais pourquoi tant qu’à faire des lois juste pour le principe de dire qu’ils en font, ils ne s’attaqueraient pas à de quoi d’utile: les abus des banques et des compagnies d’assurances. C’est incroyable de voir le service, les procédures et les frais qui se détériorent autant au comptoir, mais que les profits sont toujours en hausse démesurée. J’imagine qu’on ne mord pas la main qui nous nourrit…

Citation de Robert Guy Scully (producteur des Minutes du patrimoine et qui a été subventionné par le programme des commandites): « Le scandale des commandites est le scandale du Watergate canadien. » Ca dit tout.

Je continue aussi la liste de mauvaises annonces télé qui me tapent sur les nerfs (disons celles pires que les autres): Restaurants Subway, Lakota (le damné viel indien que plus personne n’est capable d’endurer) et les restaurant Mikes (Pas besoin de me faire crier « Oui monsieur! »)

Absurdité: Tout le monde connaît le grand appétit de Québécor pour l’argent et son obssession pour la convergence. Saviez-vous qu’ils ne se gênent pas pour accaparer sauvagement le marché et vouloir tout avoir de celui-ci, mais qu’ils n’accôtent seulement les prix des concurrents de leurs choix et sur preuve écrite? En d’autres mots, ils ne battent que les concurrents qui vendent habituellement plus chers. La gérante de la succursale de Sherbrooke m’a répondu que le magasin garanti les prix, mais qu’elle ne veut pas perdre sa marge de profit à suivre les véritables gros joueurs de son voisinage direct, tel Future Shop ou Costco. A quoi ça sert de dire que tu bats les prix quand en réalité tu ne bats que ceux plus chers que les tiens? C’est beau vouloir rentrer dans ton argent, mais les autres concurrents arrivent sûrement à faire de l’argent aussi en vendant moins cher. Leçon apprise: Ne jamais être assez malpris pour devoir magasiner chez Archambault. Je le savais dejà, mais ça a été reconfirmé.

A propos des syndicats et en particulier, ceux au Québec. Le problème n’est pas le principe du syndicalisme à la base, mais ce qui est devenu. Est-ce que c’est normal que les syndicats veulent accréditer tout le monde mur à mur (même où il n’y a pas d’avantages particuliers à l’être) et à supporter aveuglement tout conflit syndical? Défendre les plus faibles d’une entreprise ou d’un milieu, ça va, mais est-ce que c’est normal de voir les centrales débarquer en gang pour donner des renforts aux « pauvres syndiqués sous-employés et sous-payés de la SAQ » ou aux cols bleus de Montréal qui sont déçus de perdre leur semaine de quatre jours (quand la majorité du monde travaille 5 jours par semaine)? Il y a sûrement moyen de négocier de véritables problèmes. A continuer de faire du sursyndicalisme de masse, certains ne voient plus à quel point ils sont gâtés…

Souvraineté du Québec: Si le mariage canadien bat trop de l’aide et ne fonctionne plus. La souvraineté des provinces actuelles peut être une solution possible, cependant il serait avantageux pour les Québécois de voir une autre alternative souvrainiste. S’il y a trop de gouvernements et de bureaucratie, peut-être il faudrait réaliser que la souvraineté ne passe pas nécessairement par le gros socialisme et étatisme. Le Québec n’est toujours pas séparé et le Parti Québécois ne fait pas la preuve qu’il est capable de gouverner la province. Si les Libéraux de Charest ont été élus, ce n’est pas pour leurs idées. Il y a peut-être des raisons pourquoi le PQ a été battu. Bernard Landry peut avoir été un bon ministre des Finances, mais comme roi du Québec-prochainement-indépendant, il ne mérite pas encore qu’on lui donne les clés d’un nouveau pays.

Joyeux Noël

6 décembre 2004: L’intolérence, part 2.

Si la violence n’amène que la violence, l’intolérence n’amène que plus d’intolérence. Je suis déçu de voir où va la mentalité de notre société. Les parents et amis de victimes de divers crimes violents se rebellent contre la population, parce qu’ils cherchent à culpabiliser la société pour des tristes événements. Je n’excuse pas ces meurtres et viols. Je suis d’accord que la loi et les peines de prison sont trop clémentes. Cependant, je trouve ridicule de faire un plat avec la violence au cinéma ou dans les sports, puis de la rendre responsable de diverses tueries.

Créons donc un régistre des armes à feu pour régler l’ensemble de la problèmatique! Ce programme inutile est un gouffre financier sans fond. Quelqu’un peut me dire de combien le taux de criminalité a baissé depuis l’instauration de ce programme? Est-ce que vous pensez que la plupart des bandits vont laisser leur carte d’affaires sur les lieux de leurs actes? Ils n’utiliseront pas plus une arme enregistrée à leur nom. Des armes volés, non-enregistrées ou illégales, ça existe autant que le crime organisé. C’est toujours facile d’accuser l’entière planète pour éviter de voir la situation présente. Il existe un manque de vraie communication.

De plus, la société veut réparer certains de ses torts envers divers groupes minoritaires. Qu’ils soient autochones, gays, féministes ou immigrants, une partie du discours est détournée des vrais problèmes à solutionner. Le respect est l’acception des différences, mais l’égalité est le juste respect de tous. Divers groupes revendiquent pour des bonnes et moins bonnes raisons, mais il existe de plus en plus une situation inverse.

De ceux qui formaient la majorité, ce sont souvent eux qui se trouvent maintenant de plus en plus défavorisés. Le concept des Angry Young White Men (AYWM) sont la preuve qu’on a contourné le problème. Ce n’a rien de raciste. Les AYWM sont simplement le portrait-type du gars 18-45 nord-américain moyen, car à vouloir favoriser les différences et l’affirmation des groupes minoritaires, on a crée de nouvelles injustices. Ce phénomène est la preuve que ce n’est pas mieux. Un exemple extrêmiste d’égalité raté dans l’histoire est celui des Communistes d’URSS qui avaient la volonté de créer une égalité des classes et comme résultats qu’il y a eu plus d’injustices et d’intolérence qu’avant. Devons-nous faire les mêmes erreurs qu’eux?

Je n’ai aucun problème à accepter les minorités, mais devons-nous privilégier leurs différences au dépend des traits de la majorité? Par exemple, si les homosexuels veulent se marier civilement, je n’ai rien contre ça. Cependant, si l’Église catholique ne veut pas, il faudrait qu’ils respectent ça aussi. Il y a aussi une différence être reconnaitre leur existence et vouloir la promouvoir comme il m’a déjà été permis de le voir dans des écoles et cégeps du Québec. C’est la même chose avec tous ces couples homosexuels qui cherchent à provoquer le public en « frenchant » le plus possible ou en bloquant les rues pour parader durant un gay pride. Si jamais quelqu’un ne pense pas comme certains d’entre-eux, ils l’accusent de refouler son homosexualité. Peuvent-ils donc pas accepter qu’ils y a des gens différents d’eux, tous comme ils cherchent à vouloir envers eux? Est-ce que les hétérosexuels organisent des parades « straight pride » pour affirmer leur identité au monde entier? Est-ce que des hétérosexuels vont aller se frencher dans le village gay seulement pour provoquer la population gay?

C’est la même chose avec les nouveaux arrivants qui veulent qu’on respecte leur culture et coutumes. Je suis généralement bien d’accord avec cette volonté, mais il serait bien qu’ils se rappellent que nous les avons accueillis ici et non, le contraire. La plupart d’entres-eux le comprennent bien, mais ce n’est pas le cas de tous. Par conséquent, il serait valable que ces derniers démontrent du respect envers la culture dominante. Il n’y a pas de mal à pratiquer une autre religion ou à parler une autre langue comme langue maternelle, mais il faudrait qu’à Rome, ils fassent comme les Romains. À défaut de s’adapter à notre culture et à nos moeurs, il faudrait qu’ils les acceptent comme ceux du tissu social majoritaire. Si je vais dans leur pays d’origine, je vais essayer de faire attention à leurs coutumes. Il n’en serait pas ainsi pour eux ici? Après tout, que ça ait été choisi ou non, c’est eux qui ont quitté leur pays pour le nôtre et non, le contraire.

En ce qui concerne le féminisme, le mot est tellement perçu comme trop militant et radical, qu’il fait si peur que la majorité des jeunes femmes ne s’affichent plus comme féministes. C’est la preuve qu’il y a un problème. Si un mouvement de libération de la femme fait peur à celles-ci, il y a de quoi qui cloche. Au-lieu de vouloir féminiser l’univers à outrace et d’enlourdir la très compliquée langue française d’une réécriture complète en double, ne serait-ce pas mieux de vouloir neutraliser les noms impersonnels? Pourquoi devons-nous toujours donner un sexe aux mots? Pourquoi simplement ne pas ajouter un troisième pronom neutre aux troisième personnes du singulier et du pluriel?