Archives de catégorie : politique, syndicalisme et activisme

Argentine!

Quelles sont les probabilités en Amérique du Nord de croiser un véhicule immatriculé… en Argentine?

Aussi, le gouvernement du Québec et son fabriquant des plaques d’immatriculation disent qu’il n’y a pas eu de changement dans les matériaux ou la fabrication des plaques depuis des décennies, mais on voit de plus en plus de plaques délaminées (où le film réfléchissant du fond est parti pour tomber directement sur l’aluminium) comme l’exemple suivant. Déjà que le design des plaques québécoises est plutôt générique, monotone et désuet, il faut que la qualité du produit soit à la basse. C’est sans compter ce gouvernement affamé de nouvelles taxes crache anormalement sur l’ajout de revenus supplémentaires qu’il obtiendrait en autorisant l’achat de plaques personnalisées (« vanity plates ») et/ou philanthropiques comme il se fait pratiquement partout ailleurs au Canada et aux États-Unis.

Pourquoi je préfére le maire Bernard Sévigny à Jean Perrault

On critique souvent les politiciens quand ils font des mauvais coups, mais il est important de souligner aussi les bons coups. Bernard Sévigny est maire de Sherbrooke depuis 2009, soit depuis 4 ans. Jean Perrault a été au pouvoir pendant 15 ans. Questionné personnellement à ce sujet, Perrault a catégoriquement refusé de se pencher sur le sujet des stationnements à étages du centre-ville. On ne parlait même pas de les démolir, mais simplement les intégrer au paysage ou camoufler la cicatrice qu’ils sont. C’est sans parler de l’odeur profonde d’urine et de la peur assez répandue dans la population de s’y faire violé ou volé.

On le sait tous que le centre-ville de Sherbrooke en arrache, on mets des efforts sur la rue Wellington, mais très peu ailleurs au centre-ville. Des initiatives ont été faites du côté des berges de la rivière Magog, mais le coeur de Perrault était plutôt au lac des Nations, à la la Cité des rivières et au plateau St-Joseph. La question des intérêts pourquoi Perrault vouait sa préférence vers ces endroits, pourquoi ne pas encourager le développement commercial au centre-ville et dans l’Est (Fleurimont), puis pourquoi négliger l’ensemble de la ville pour se concentrer sur ces quelques endroits est discutable.

En quatre ans, Bernard Sévigny semble montré plus de vision globale qu’en 15 ans de règne de Perrault. Il aura aussi au moins réussi à faire corriger l’aberration visuelle de ces stationnements en ajoutant des éléments métalliques architecturaux et de la végétation.

Enfin!

Parkade