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12 février 2005: Idiots, partie 2

Il faut que je ne m’en fasse trop, mais il est incroyable de voir le nombre d’idiots qu’on peut rencontrer dans une vie. Je pensais même faire un temple de la honte (« hall of shame »), mais ça serait peut-être trop leur donner d’attention et d’honneur. Je réflechi encore une solution à cette problèmatique.

Peu importe j’aimerais souligner l’absurdité du jour: la gérance du magasin Wal-Mart de Victoriaville. Je me fous de tous ces appels à la bombe niaiseux et appels au boycott inutiles, mais il me semble que leurs cadres pourraient être moins arrogeants. Ainsi, peut-être que leur image serait meilleure dans les yeux du public.

Aujourd’hui, on est à la fin d’un tempête et comme à l’habitude, le déneignement du stationnment de ce magasin et des voies d’accès à ce « power centre » est fait de façon toute croche. On ne parle pas ici de l’absence de trottoirs menant au magasin, même deux ans après sa construction. Je parle ici que le chemin privé qui mène au magasin depuis le boulevard Jutras Est est si mal déneigé que la ligne jaune est rendue dans l’accôtement à plusieurs endroits. Ils faudraient que le trafic à contre-sens et les piétons circulent dans ça quand deux voitures ont le difficulté à circuler normalement à contre-sens et à ne pas avoir une roue dans le banc de neige.

Questionné à ce sujet, le répresentant de la direction (un dénommé assistant-gérant nommé Claude) rit en pleine face de la clientèle: « Ce n’est pas notre stationnement, capitaine. C’est à un mille d’ici et c’est un gros contracteur qui ouvre ça. » Wow, si c’est vraiment de la sous-traitance ou que le magasin est véritablement locataire, il me semble que ça serait la moindre des choses que de faire semblant d’écouter la clientèle et d’avertir le contracteur, si les plaintes reviennent trop souvent. Des plaintes de locataires à un propriétaire, ça ne s’est jamais vu? Je crois plutôt le contraire et il faudrait peut-être demander la question au personnage de propriétaire de bloc de Dany Turcotte. Dans ce cas, c’est le contraire, on ignore les commentaires du client, on le dénigre et on l’incite à aller magasiner ailleurs. De plus, quand même, ça serait la faute de l’entrepreneur ou de la compagnie à numéro de Montréal ou Toronto, ce n’est pas au client en région à les appeler. La relation d’affaires du client n’est pas avec eux. Est-ce qu’on parle ici d’ignorance et d’incompétence ou d’arrogeance? En tout cas, ce n’est pas trop fort pour une chaine ayant actuellement un problème d’image corporative. Si ça serait une manifestation de syndiqués ou d’altermondialistes qui aurait eu lieu, je suis certain que le magasin aurait soudainement eu une propriété de l’endroit.

9 février 2005: Idiots

Aujourd’hui, les idiots ont eu une place de choix dans l’actualité. Premièrement, soulignons les « pauvres employés » du magasin Wal-Mart de Jonquière qui se plaignent de perdre leur emploi après fait rentrer le syndicat dans la compagnie. C’est bien de vouloir faire rentrer le syndicalisme mur-à-mur partout au Québec, mais dites-moi pas qu’ils ne se doutaient pas de ce qui allait arriver. C’est vrai que Wal-Mart n’est pas le meilleur employeur au point de vue des conditions de travail, mais doit-on tomber dans l’autre extrême: celui des services publics et para-publics? Est-ce que tous ces cols bleus, employés de la SAQ et autres types de fonctionnaires sont si mal traités? Rien de comparable au secteur privé.

1er février 2005: Encore des réflexions philosophiques

J’aimerais remercier le syndicat des chauffeurs de la STS pour leur conscience sociale. On voit que la justice et l’équalité de tous leur tiennent vraiment à coeur. Est-ce que c’est pour ça que des moyens de pressions (vandalisme, retards, etc…) et des menaces de grève illégales ont surgis quand la ville a fait appel à la sous-traitance temporairement. Est-ce que prendre la clientèle en otage est une belle façon de la sensibiliser à la cause de ces « pauvres employés sur exploités du secteur public et si mal payés »? Vraiment, l’idée de tout virer à l’envers jeudi passé était vraiment la preuve que votre justice sociale s’arrête à votre seul et unique confort et non, globalement à la société.

Également, lors d’un discussion sur l’équarissage, j’aimerais republier ici un de mes commentaires: « It is dirty work, but someone needs to do it. It stinks, but it needs to be done somewhere. You may think that rendering is like when animals eat each others. You’re right, but you do it too. I eat meat, but when we stop on the idea: What is meat? The answer is disgusting: that’s a part of a dead animal. You’re eat parts of animal cadavers. Almost every species do it, it is called « life cycle ». You do it or you die. Eating veggies or plants is the same, but worst since raw veggies are not dead when you eat them. About rendering, that’s recycling. You need to do something with these remains, but the most important thing is you have to take care of avoiding giving cow powder to cow, poultry byproduct to chicken since it is cannibalism and it is the reason behind all the mad cow disease cases in Western Canada. Also, do you know how gelatin and lip sticks are made? »

Aussi, de quoi de profond entendu cette semaine: « On ne peut pas effacer les erreurs du passé, mais on peut changer le sens de l’avenir. »

Finalement, ça fait chier de savoir qu’on veut dire de quoi d’important, mais que ça fait deux jours qu’on cherche à retrouver le sujet.