A Victoriaville, la nouvelle stratégie depuis quelques années est que si la rue ou le trottoir est en mauvais état, on essaie de le réparer avant qu’il soit jugé trop tard. Autrement, s’il est trop endommagé, il est laissé à l’abandon. C’est bien pour éviter d’allonger la liste des infrastructures déficientes, mais qu’en est-il pour ce qui est à reconstruire complètement?