Tel que vu aux portes d’un grand magasin de Sherbrooke. Ils annoncent qu’ils offrent « le prix américain sur les cartes de souhaits, papiers d’emballage, choux, livres et magazines ». Wow! En raison de la pression de la clientèle qui voulait un réajustement de prix dû à la parité du dollar canadien avec son homologue américain, ils vendent ces items au même prix. Bonne idée, si ça serait en général, mais qui va magasiner à Plattsburgh ou Burlington uniquement pour acheter des choux pour les cadeaux? Comme si c’était de quoi que tous achètait régulièrement. Pourtant, ce n’est pas plutôt comme un pot de Vaseline, le type de chose qu’on peut vivre de nombreuses années avec le même stock sans jamais en manquer?
Sen(t)ator
Mega Shark vs Crocosaurus
Mega Shark vs Crocosaurus. Avec un nom de même et en lisant le sypnosis annoncé dans le guide, ça ne peut pas que voler pas très haut. Ok, Hollywood a l’habitude de produire et d’annoncer à grand déployment des films de monstres et de catastrophes inondés de clichés aussi stupides et de mauvais qualité, mais il faut voir la qualité des effets spéciaux digne du « pas-de-budget » des Chick N’ Swell pour constater comment ce navet réussi quand même à se distinguer du lot.
Selon l’échelle de notation de MediaFilm, il a réussi à obtenir un 7 sur 7, soit la pire côte existante: minable! En comparaison, le classement MediaFilm donne généralement une côte de 5 sur 7 et parfois 6 sur 7 aux films qui passent à la télévision. Tout comme trouver un film vraiment bon, il est exceptionnel de trouver l’opposé, soit un film classé 7 dans le télé-horaire (malgré qu’à mon avis, je reviserais le jugement de plusieurs et pas toujours pour le mieux…)
Chose certaine, si on le prend dans la perspective d’un film de série B ou mieux encore, de série Z; l’échec de ses effets spéciaux, ses nombreuses erreurs et son scénario absurde en font une comédie quoi assez appréciable.