Canada ou Alaska?

Il y a de quoi qui m’intrigue avec les timbres courants présentement en circulation au Canada. Sur les timbres de 1.05$, on voit une photo de deux bébés orignaux ou caribous et à la fin du rouleau, on peut trouver les crédits pour les photos.

Je dis « les photos », car il semblerait que c’est un montage « Photoshop » de possiblement les animaux superposés sur un paysage ou de quoi du genre. Un des crédits donne pour « Gary Schultz, Alaska Stock ». Après vérification, Gary Schultz est un Américain d’Anchorage (Alaska). En partant, ce n’est pas fort quele gouvernement fédéral achète des photos d’étrangers pour utiliser sur les timbres.

Toujours selon ces recherches, il n’a pas été possible de retrouver l’image correspondante qui aurait été vendue. La majorité des photos à vendre sont de l’Alaska et non du Nord canadien. D’ailleurs, rien de plus ou moins près au sujet du timbre semble s’approcher dans son catalogue d’images du Canada.

A moins d’un avis contraire, est-ce que le timbre de 1.05$ présentement en circulation est composé d’au moins une image même pas au pays pour representer ce dernier?

Une autre façon d’arrondir un prix

Au lieu d’arrondir le prix au 5 ou 10 cents près, il y a toujours ceci:

Bravo Champions!

Henri-Bourassa et Dufferin-Montmorency

Bravo aux champions qui se sont stationnés dans l’intersection du boulevard Henri-Bourassa et de l’autoroute Dufferin-Montmorency, puis à contre-sens dans l’entrée de cette dernière (hors-champ), à la dernière minute hier soir pour ne pas rater les feux d’artifices, mais qui bloquaient la circulation habituelle sous les yeux indifférents de la police de Québec (SPVQ) et de la Sûreté du Québec.

Comme ça ne suffit pas d’agir en imbécile et de ne pas vouloir laisser passer le trafic qui était à sa place, il fallait que ces « génies » leur soit aggressifs. Heureusement, ce flot de véhicules ne comprennait pas de véhicules d’urgence répondant à un appel. Comme à l’habitude au Québec, il va falloir qu’une loi spéciale soit passée ou qu’un triste accident survienne pour que les choses bougent.

Et l’ancienne brasserie Dow?

Il y a de quoi qui m’agace dans le débat de l’augmentation des frais de scolarité et de la gestion des cégep et universités. Le domaine public cherche toujours à remonter ses revenus sans jamais véritablement s’attaquer à la pertinence de dépenser justicieusement. L’UQAM s’est fait critiquée pour sa participation dans le projet désastreux de l’Ilot Voyageur (nouveau terminus), mais qu’en est-il de l’École de technologie supérieure (ÉTS) et de l’ancienne brasserie Dow dans le secteur Griffintown à Montréal?

Je conviens que la brasserie est à l’abandon depuis le transfert des activités d’O’Keefe chez Molson et que l’ÉTS a donné le coup de pouce nécessaire pour recycler l’usine d’embouteillage qui constitue son actuel campus.

Ce qui m’achale dans ce dossier, c’est son rôle plutôt flou dans le projet de conversion de la partie historique de la brasserie en soi (salles de brassage) en lofts, tel qu’on en voit la mention sur l’affiche de la photo ci-dessous. Par exemple, sa voisine, la Lowney, a été convertie en lofts, mais c’était le promoteur Prével qui était derrière le projet, pas l’école.

En quoi, un établissement scolaire publique a comme intérêt à participer à la conversion d’un édifice désaffecté en lofts, s’il n’est pas directement concerné par le projet? A moins que des informations soient manquantes, il me semble qu’il y a une marge à intervenir dans le projet du site du voisinage immédiat et être véritablement concerné par ce dernier? Est-ce que l’ÉTS a-t-elle pris possesion des lieux pour augmenter ses locaux et / ou répondre à ses besoins? Y aura-t-il toujours des résidences étudiantes dans le projet comme les rumeurs le mentionnait à un certain moment? Autrement, c’est quoi le rôle de l’ÉTS dans ce projet et pourquoi elle est dans cette position?

Brasserie Dow

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