Les fusions municipales demandent de renommer des rues ayant le même nom donné à des artères différentes. A Magog, ils en ont profité pour aussi moderniser l’histoire, car ils sont passer du pape Pie XII à Jean-Paul II.
Aussi, comment savoir que les membres du comité de toponymie d’une ville écoute trop la télévision? Les noms de rue portent le nom d’émissions. Par exemple, à Richmond, on trouve une rue Futurama.
(Si quelqu’un connait la véritable origine du nom, on est intéressé à la connaître.)
A Victoriaville, la nouvelle stratégie depuis quelques années est que si la rue ou le trottoir est en mauvais état, on essaie de le réparer avant qu’il soit jugé trop tard. Autrement, s’il est trop endommagé, il est laissé à l’abandon. C’est bien pour éviter d’allonger la liste des infrastructures déficientes, mais qu’en est-il pour ce qui est à reconstruire complètement?
Des cas flagrants comme celui-ci au coin des rues Académie et Gaudet sont trop fréquents.
Il est à la mode que chaque ville et village ait son slogan. Habituellement, il est visible sur les pancartes à l’entrée de la municipalité. Des fois, certains vont faire de la publicité dans les médias, tel Laval et Terrebonne à la télévision ou Mascouche et Montréal en affichage. Bien que le slogan de Mascouche (« Mascouche m’enchante ») peut être discutable, il ne peut battre la campagne de la ville de Montréal où on nous dit que « [l]a banlieue n’est pas la solution » et « [qu’]un montréalais, c’est quelqu’un qui reste à Montréal » (après avoir fait une campagne sous le thème « on est tous montréalais »). Si la banlieue n’est pas la solution (et à quelle question/problème, par ailleurs?), est-ce que la ville de Montréal l’est réellement elle-même?
Parfois éditorial, parfois insolite, mais toujours fait à 100% de bon vieux HTML Canada A fraîchement codé à la main et contenant une forte teneur en PHP!