Archives de catégorie : sports

10 mars 2007: Hockey somnifère

Est-ce que les patrons de RDS pourraient se réveiller et réaffecter ailleurs ou même congédier Yvon Pednault? Je ne veux pas le dénigrer inutilement et il y a pire que lui, mais ça ne doit pas être difficile de trouver beaucoup mieux à sa place non plus. Dejà que les parties du Canadien sont ennuyantes et que les arbitres recommencent à détruire le produit, il faut endurer le ton saccadé de son semblant d’analyse. Tout son collègue Pierre Houde, ils hésitent souvent dans leurs phrases en cherchant à toujours trouver la terminologie et la prononciation la plus française possible (Le français correct est une chose importante certes, mais il ne faut que le médium nuisent au message.), mais en même temps il va utiliser des expressions qui éraillent les oreilles comme « compétitionner ». Bien qu’on comprenne tous le sens du terme, il n’existe pas dans les dictionnaires. Aussi, contrairement à tout ces « wannabes » qui veulent passer à la « tivi » avec des affiches le ventant, nous sommes tannés de son manque de profondeur, de ses échos douteuses de rumeurs étranges, ses statistiques souvent totalement inutiles et qu’il ramène toutes ses analyses aux mêmes théories, tel son éternelle « zone privilégiée ». Temps qu’à y être, pourquoi ne pas aller jusqu’à réciter les grands clichés du ABC du hockey, tel qu’il faut jouer pendant 60 minutes pour compter au moins un but de plus que l’adversaire et retourner s’amuser à faire des jeux simples et tirer sur le gardien? Je n’ai rien contre les différents « backgrounds » des gens, mais si on regarde son cas, outre avoir été affecté au département des sports de son journal pendant plusieurs années, quelle compétence a-t-il pour juger le travail des joueurs, entraîneurs et autres arbitres? Si on n’est pas ni un bon communicateur, ni ayant le véçu du sujet, il est difficile de voir en quoi il est mieux que n’importe quel gérant d’estrades. De plus, pourquoi les différents commentateurs sportifs francophones ont-ils aussi peu de rythme et d’émotion dans leurs intervention. Ca ne fait qu’ajouter à l’impression que leur petit confort personnel leur ai plus important que tout autre chose.

Par la même occasion, à mon tour de faire mon gérant d’estrades. Est-ce que le Canadien pourrait se débarasser des mauvaises influences dans l’organisation, soit l’omniprésent Ron Lalonde (qui prend trop d’importance sur le travail de la direction des opérations hockey et de Bob Gainey) et le faux leader Saku « 2 minutes in the box, but I still don’t speak French after about 10 years in Montreal » Koivu?

11 juin 2006: Vie culturelle victoriavilloise

La ville de Victoriaville essaie de se vanter de sa qualité de vie. Bel effort, mais il faudrait qu’elle existe. Entre les nombreux nids de poule de ses rues défoncées, il manque une vie culturelle. Ce n’est pas pour rien que des joueurs de hockey junior (possiblement snobs) refusent de venir jouer dans cette ville. C’est vrai que le club de hockey local n’a pas ni l’argent, ni l’organisation, ni l’aréna pour suivre convenablement le reste de la ligue et fini trop souvent par faire des ventes de feu avant la fin de la saison. Le problème de Victoriaville est que c’est souvent de même dans ses autres milieux.

Côté culturel, c’est pratiquement néant. Les deux succursales de sa bibliothèque n’ouvrent jamais à des heures régulières et quand celà arrive, ce n’est pas que son personnel arrogeant puisse crier des bêtises à ses usagers ou essayer de leur soutirer des fonds en les accusant pour cacher leur propre négligence et celà peu importe qui sont-ils.

De mémoire, il n’y a pas de festival digne d’être respecté dans cette région. Cette fin de semaine était celle de ce qui reste du Festival rétro. D’un beau projet en croissance, il ne reste plus que la possibilité de payer des sommes exorbitantes pour voir des imitateurs d’Elvis ou des restants du concours d’amateurs commandité par la machine Québécor, Star Académie. Rien à voir avec ce qui se fait par exemple à Saint-Hyacinthe. Quand à cibler la volonté d’attirer des amateurs de VR pendant la fin de semaine entière, aussi bien les inviter ordinairement dans un camping au bord d’un lac et ils en auraient plus pour leur argent.

Le plus connu des festivals locaux, le Festival international de musique actuel de Victoriaville (FIMAV) est une farce en soi. Recherchant la marginalité, il est possible de croire qu’il peut être connu de longue date, mais difficilement à son contenu. Il y a environ deux ans, l’hebdomadaire régional, L’Union, rapportait que l’un des faits saillants de l’édition de cette année était la performance d’un gars qui est venu roter du Pepsi sur scène, tout en mangeant des chips. Je ne me moque pas de vous ici. Qu’elle est la musique dans celà? Est-ce que c’est rendu que la définition de l’écoute des sons de son corps (tel que la parodie de l’humoriste François Pérusse) serait rendu qualifiée de musique? A quand le jour du gars qui va venir peter sa floppée de beans, tout en sappant pendant qu’il calent sa caisse de 12? Voudriez-vous réellement partir à l’extérieur de votre région et payer pour voir ça?

Un autre grand projet en émergence dans cette municipalité, les Fêtes victoriennes, ne semble être là que pour certains de ses membres de son éxécutif puissent se fabriquer plus de capital politique et de permettre à leur petite entreprise douteuse d’empocher un coup sur le dos de l’organisation. Outre ce qui peut être dit « arrangé avec le gars des vues » dans les journaux locaux, est-ce qu’il y a une réelle croissance de sa notoriété et du nombre d’assistance? Est-ce que l’évènement prend de l’envergure? Est-ce qu’on entend parler souvent à l’extérieur de la scène locale? Est-ce qu’il y a une raison pouvant réellement motiver quelqu’un à faire une heure, deux heures de route ou plus pour venir voir ça? Le développement de l’activité staigne en profitant de la charité de ses bénévoles.

De petites villes en dehors des grands centres, tel Rouyn-Noranda avec son Festival du cinéma, Petite-Rivière et son concours de chant ou Shawinigan et son festival le font. Je dois être honnête et rectifier que le problème semble plutôt à Victoriaville que dans l’ensemble des Bois-Francs. La ville voisine, Warwick, présente son Festival des fromages la semaine prochaine avec des concerts d’artistes connus et un concours des fromages de plus en plus réputé, tandis qu’à Princeville, le Festival du cheval est capable de se payer de la publicité télé à l’extérieur de sa région immédiate. Où est Victo?

19 février 2006: Poésie urbaine

L'odeur d'un souffle s'appelle l'haleine

L’odeur de ton souffle. Ce n’est peut-être pas aussi poétique, mais chez-nous, on appelle ça simplement l’haleine.

José Théodore. Il continue de s’enfoncer dans les pétrins tout seul. Ce n’est pas simplement de la malchance. Quand ce n’est pas les déboires de sa famille ou belle-famille, c’est ses perfomances sur glace ou ses résultats de dopage en raison de la prise d’un médicament contre la perte des cheveux (Ca vient que confirmer l’idée que son apparence compte plus pour lui que ses résultats sportifs et professionnels.). Maintenant, il tombe tout seul sur la glace dans des escaliers. Pourtant, lui, il gagne sa vie sur la glace, ca tombes-tu bien une blessure pour le reste de la saison à ce moment-ci? Ca peut bien expliquer sa valeur sur E-Bay!

Avis aux usagers du système bancaire canadien, le format des chèque changera à la fin de l’année. Par conséquent, la majorité des blancs de chèques actuels ne seront plus valide.
Informations: Standard 006

Aussi, avez-vous réalisé que la grande majorité des épiceries offrant le service au volant ont arrêté ce procédé? Bien qu’on puisse réaliser qu’on sort plus souvent les paniers dans les stationnements, on a réalisé moins concrètement la disparition de ces traditionnelles allées.

Toujours dans le potinage, il est maintenant confirmé que le kiosque de Loto-Québec à l’hôpital psychiatrique Louis-H.-Lafontaine existe toujours. Ne penser pas jouer avant le jour de votre 18e anniversaire, mais si vous avez 18 ans ou plus avec 10 âge d’âge mental, vous êtes assez apte, luicide et responsable pour engraisser les coffres du gouvernement.

En dernier lieu pour aujourd’hui, c’est maintenant fait! L’Université du Québec à Montréal a commencé à gober les terrains de Station Centrale (sic) (autrefois connu comme le terminus Voyageur) et du square Berri. Plus tôt cette semaine, il était possible de voir des coffrages être installés dans le gros trou qui remplace le stationnement des autobus vers la rue Ontario. Au lieu de continuer de s’étendre sur les autres édifices et parcs du centre-ville, n’était-il pas possible d’aggrandir par en-dedans et de construire des étages supplémentaires à leurs bâtiments actuels?