Archives de catégorie : société
14 décembre 2005: Affichez-vous!
Aujourd’hui, deux nouvelles pièces de resistance à la collection des fautes de français dans l’affiche: « Bellagio, Caffè francaise » (au lieud de « Café français ») et « Hôtel Européenne » (au lieu de « Hôtel européen »).
La dernière image est socialement intéressante: une « pitoune » ayant une poêle en fonte pour vendre des vetêments. Certaines féministes se choqueraient de voir une femme utilisée à vendre des produits (destinée à la gent féminine de surcroît), cependant il ne faudrait jamais qu’un homme soit illustré dans le même contexte avec cette poêle ou tout autre bâton de baseball, car ça serait incité à la violence envers les femmes. Pourtant, pourquoi deux poids, deux mésures? Soit qu’une scène est acceptable, soit elle ne l’est pas. Il en est de mnême avec la publicité télé d’un médicament sans ordonnance (Tylénol, je crois) où on voit une dame dans la cinquantaine souffrant d’arthérite vanter les mérites du produit, puis demander à son modèle masculin de montrer ses muscles pour mieux le peindre (tout en ayant un regard de voyeur). Si les rôles seraient inversés et c’était un homme qui demanderait celà à sa jeune muse, tout de suite on entenderait les mouvements féministes crier aux « vieux cochons ». Est-ce réellement l’égalité des sexes? Aussi, est-ce que cette égalité des sexes demandent aux deux genres humains de jouer selon TOUTES les mêmes règles sociales?
29 août 2005: Les nouvelles chroniques de Victo
J’ai trouvé pourquoi les taxes municipales sont si chères à payer: ça dort au gas à l’hôtel de ville! Autrement, expliquez-moi comment l’installation d’une enseigne lumineuse et souvent aveuglante a été permise directement près de feux de circulation?
Le viaduc du boulevard Jutras. Ce souvenir de l’ancienne voie ferrée du CN est une plaie à la circulation. Outre cacher la vue entre les deux intersections de chacun de ses côtés, il produit un effet d’entenoir (« bottleneck ») accentué par deux bouts de trottoirs inutiles et aucunement reliés à aucun autre trottoirs voisins.
L’ancien marché public. Il est incroyable qu’une ville-centre d’une région fortement agricole et qui se dit proche du développement durable et environnemental aie laisser mourir son marché public située sur des terrains historiques pour la municipalité par dessus le marché (sans jeu de mots).
Même si c’est peinturé ainsi depuis plus mois, j’ai beaucoup de difficulté à m’habituer à voir l’édifice de cette polyclinique dans un agencement de couleurs aussi douteux.
Tous les moyens sont bons pour se rendre au chic chez Bidou!
Le mot de la fin est une prédiction: Ma « /2%*?&$% de souris ne va finir l’année sans voler à travers la fenêtre, si elle continue à aller mal de même!