e voulais ajouter ce chapitre depuis quelques temps, mais ça n’avait jamais adonné. Ainsi, j’aimerais montrer mon appui à la résistance au projet de pipeline Ultramar entre la rive-sud de Québec et de Montréal. Ce projet supposément présenté pour le bien collectif selon son promoteur prévoit l’expropriation des terres et forêts sur un largeur de 100 pieds dans un nouveau corridor, plutôt que d’utiliser une servitude déjà existante. Quel avantage y a-t-il à encourager l’initiative privée d’une compagnie pétrolière américaine qui réalise des projets à la pelle et qui réussi à influencer le gouvernement provincial de passer une loi privée en douce et qui prévoit le recours à l’expropriation selon toutes leurs volontés. Si jamais un matin, je décide d’ouvrir une compagnie privée de télécommunications et que je décide de vouloir avoir une loi pour exproprier où bon me semble pour faire passer ma fibre optique que pour mon seul usage privée et que je dise que c’est pour le bien collectif, est-ce que ça aurait du sens? Pourtant, il semblerait qu’oui, selon certains. Temps qu’à moi, ils peuvent bien continuer à faire comme tout le monde et à utiliser les camions, navires et convois ferroviaires du CN qu’ils utilisent déjà.
Également, dans un sujet connexe, qu’est-ce que la ville de Victoriaville attends pour éviter que le secteur commercial en développement au coin de la route 116 (boulevard Arthabaska) et du boulevard Jutras devienne un autre « boulevard Tashereau »? Autant que certaines villes cherchent à éviter ce désastre, Victoriaville semble manquer encore une fois de leadership et de courage. Le dernier point à l’histoire est la construction sauvage d’un soi-disant nouveau bon voisin corporatif: Home Depot. Il faut voir comment ils ont tout sacagés leur terrain pour se construire. Ce n’est pas de jouer à l’écolo et de se chaîner à son arbre. Au moins, ils auraient pu faire attention et laisser le bois en place où il ne dérangeait pas, plutôt la compagnie américaine préfère imposer ses normes corporatives, payer peut-être une petite amende et replanter de petits arbustres « cucus » sur la tourbe en remplacement. Ca, c’est sans compter l’absence de trottoirs continus sur le boulevard Jutras Est entre le boulevard Bois-Francs Sud et la Grande Place des Bois-Francs, ni aucun sur la route 116. Plutôt, on voit apparaître des enseignes lumineuses criardes devant passent certains camions en transit utilisant leurs freins jacobs près de zones résidentiels. La municipalité a peur de prendre ses responsabilités pour interdire et faire respecter un reglèment sur le sujet comme il se fait partout ailleurs. Victo est bien parti pour avoir son propre boulevard Tashereau. Malheureusement.
Même si ça ne paraît pas toujours, mon utopique quête d’un monde meilleur a subie un dur coup hier. J’ai constaté une fois de plus que l’ironique citation que « le Québec possède le meilleur système au monde » est très loin de la réalité. Il n’est pas normal que des infirmières des salles d’urgence des hôpitaux cherchent à tout prix que des gens évitent de consulter un médecin quand leur état le justifie. Elles ne peuvent pas refuser l’admission d’un patient noir sur blanc, car la loi leur interdit et donc, leur emploi serait en danger, mais tout semble bon quand il faut inciter les gens à quitter. Peut-être devraient-elles penser à refaire carrière ailleurs et être « doormen » (« doorwomen » ?) pendant les « last calls », car il semble avoir un talent pour faire partir la clientèle. Ce n’est pas normal que des gens ne puisse pas avoir de médecins de famille, ni de rendez-vous pour ceux qui en ont un. Ce n’est pas normal que des gens attendent aux portes des cliniques sans rendez-vous, tel à l’ère soviètique, et de jouer du coup et de magouilles pour tenter de pouvoir rencontrer un docteur lors des rares périodes où ce service est offert. Ce n’est pas normal que les cliniques externes des hôpitaux, ni tout les CLSCs n’offrent pas de service médical de première ligne sans rendez-vous (salle d’urgence non-urgente). Après ça, venez me dire qu’est la juridicion l’une des plus taxée en Amérique du Nord et dans le monde donne de quoi et que les services y sont en conséquence et en proportion. Triste constat une fois de plus.
Bonne nouvelle: Bernard Landry a fini de tergiverser et de chercher à avoir l’attention sur lui à hésiter à retourner se présenter à sa propre succession. Je ne dis pas que les Péquistes vont avoir un meilleur chef, mais au moins, Landry aura fini de faire « bretter » tout le monde au tour de lui en raison de son obsession d’outrer le système à se faire désirer maladivement.
La très puissante (pour ne pas dire, la trop puissante) Centrale des syndicats nationaux (CSN) est en plein attaque de tous les fronts. Partout, elle sait attendre et choisir le moyen de nuire et de faire mal pour aider ses membres à s’engraisser plus qu’il le faudrait dans bien des cas. De plus, elle encourage l’usage de la criminalité, dont le vandalisme et la détérioration de la propriété de l’employeur comme moyens de pression. A quoi bon, celà va donc vous servir? Ces employés syndiqués vont être les premiers à se plaindre du mauvais état de l’équipement et des lieux de travail et que beaucoup de fonds doivent servir à réparer les bris. Après tout, est-ce cette ridicule moyen de pression, tel coller des autocollants syndicaux partout dans les vitres, rapporte de quoi dans leur action de terreur?
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