Il ne fait aucun doute que le projet nommé Les Convertibles et réalisé dans le cadre des Journées de la culture est étrange. Ce qui est plus bizarre, c’est qu’il est difficile d’avoir des informations précises à ce sujet. Normalement, l’art contemporain insiste beaucoup sur l’aspect de la démarche artistique pour se véhiculer. Dans ce cas-ci, outre le choix du sujet par les artistes sélectionnés, les détails s’arrêtent là. Peut-être, il y a un simple problème de communication, mais il a donc été totalement impossible d’avoir une réponse des organisateurs de l’activité à nos questions concernant le projet. Est-ce qu’on a peur de la transparence? Ainsi, il semble qu’on ne veuille pas expliquer comment les autobus sont partis du fond des garages pour arriver dans les mains des artistes mystérieusement choisis: s’agit-il d’une simple vente, d’une location, d’un prêt ou autre chose? Qu’arrivera-t-il des véhicules après leur exposition (diffusion) en fin de semaine à Québec? Vont-ils prendre la route des ferrailleurs, retourner dans le fond des garages des compagnies, se promener en tournée… Le total néant. Il semble qu’il s’agissent de simples questions totalement justifiées, montrant de l’intérêt envers le projet et qui ne sont pas menançantes. En n’ayant pas de réponse, celà a augmenté la curosité envers ces aspects et il a été permis de constater qu’il est encore plus mystérieux de voir des autobus publics de moins de 16 ans servir au projet. Est-ce que c’est le pot aux roses ou la pointe de l’iceberg? A moins, d’avis contraire, il semble que certains en ont profité pour en passer une vite en se débarrassant de leur bois mort avant le temps demandé par la loi. Au Québec, cette dernière demande que les véhicules des sociétés de transport publiques restent au moins 16 ans à leur service.
Archives de catégorie : Montréal métro
31 août 2006: Signalisation montréalaise
Ca parait moins sur la photo qu’en personne, mais pouvez-vous me dire à quoi sert cette pancarte? Elle se trouve à la sortie du pont Victoria à Montréal et est plantée dos à la voie publique et directement sur un conifère. Doit-on avertir les arbres de ne pas traverser les rues entres les feux de circulation? Je la comprends pas trop.
19 février 2006: Poésie urbaine
L’odeur de ton souffle. Ce n’est peut-être pas aussi poétique, mais chez-nous, on appelle ça simplement l’haleine.
José Théodore. Il continue de s’enfoncer dans les pétrins tout seul. Ce n’est pas simplement de la malchance. Quand ce n’est pas les déboires de sa famille ou belle-famille, c’est ses perfomances sur glace ou ses résultats de dopage en raison de la prise d’un médicament contre la perte des cheveux (Ca vient que confirmer l’idée que son apparence compte plus pour lui que ses résultats sportifs et professionnels.). Maintenant, il tombe tout seul sur la glace dans des escaliers. Pourtant, lui, il gagne sa vie sur la glace, ca tombes-tu bien une blessure pour le reste de la saison à ce moment-ci? Ca peut bien expliquer sa valeur sur E-Bay!
Avis aux usagers du système bancaire canadien, le format des chèque changera à la fin de l’année. Par conséquent, la majorité des blancs de chèques actuels ne seront plus valide.
Informations: Standard 006
Aussi, avez-vous réalisé que la grande majorité des épiceries offrant le service au volant ont arrêté ce procédé? Bien qu’on puisse réaliser qu’on sort plus souvent les paniers dans les stationnements, on a réalisé moins concrètement la disparition de ces traditionnelles allées.
Toujours dans le potinage, il est maintenant confirmé que le kiosque de Loto-Québec à l’hôpital psychiatrique Louis-H.-Lafontaine existe toujours. Ne penser pas jouer avant le jour de votre 18e anniversaire, mais si vous avez 18 ans ou plus avec 10 âge d’âge mental, vous êtes assez apte, luicide et responsable pour engraisser les coffres du gouvernement.
En dernier lieu pour aujourd’hui, c’est maintenant fait! L’Université du Québec à Montréal a commencé à gober les terrains de Station Centrale (sic) (autrefois connu comme le terminus Voyageur) et du square Berri. Plus tôt cette semaine, il était possible de voir des coffrages être installés dans le gros trou qui remplace le stationnement des autobus vers la rue Ontario. Au lieu de continuer de s’étendre sur les autres édifices et parcs du centre-ville, n’était-il pas possible d’aggrandir par en-dedans et de construire des étages supplémentaires à leurs bâtiments actuels?