Quelques nouvelles. Premièrement, trouvez ce qui cloche dans la scène sur la première photo. Également, au sujet du second cliché, est-ce que Mignonne est le prénom de la propriétaire du commerce ou simplement la dernière addition de ma collection d’enseignes ayant des fautes?
Aussi, c’est maintenant confirmé. Normand L’Amour est effectivement les journées de fin de semaine au dépanneur du restaurant Le Madrid à St-Léonard d’Aston. Quoi de mieux que de prendre la sortie 202 de l’autoroute 20 pour acheter un disque de l’auteur-compositeur-interprète et couper en deux le trajet entre Montréal et Québec?
Dernier point du jour: Même si les mises à jour du site sont au relenti depuis quelques jours, la maintenance des systèmes informatiques va bien et est sur le point d’être compliqué après quelques complications imprévues.
J’ai trouvé pourquoi les taxes municipales sont si chères à payer: ça dort au gas à l’hôtel de ville! Autrement, expliquez-moi comment l’installation d’une enseigne lumineuse et souvent aveuglante a été permise directement près de feux de circulation?
Le viaduc du boulevard Jutras. Ce souvenir de l’ancienne voie ferrée du CN est une plaie à la circulation. Outre cacher la vue entre les deux intersections de chacun de ses côtés, il produit un effet d’entenoir (« bottleneck ») accentué par deux bouts de trottoirs inutiles et aucunement reliés à aucun autre trottoirs voisins.
L’ancien marché public. Il est incroyable qu’une ville-centre d’une région fortement agricole et qui se dit proche du développement durable et environnemental aie laisser mourir son marché public située sur des terrains historiques pour la municipalité par dessus le marché (sans jeu de mots).
Même si c’est peinturé ainsi depuis plus mois, j’ai beaucoup de difficulté à m’habituer à voir l’édifice de cette polyclinique dans un agencement de couleurs aussi douteux.
Tous les moyens sont bons pour se rendre au chic chez Bidou!
Le mot de la fin est une prédiction: Ma « /2%*?&$% de souris ne va finir l’année sans voler à travers la fenêtre, si elle continue à aller mal de même!
Plus de 85 ans après sa mort, la plus tristement célèbre des enfants-martyres du Canada français et de sa mémoire populaire repose dans le même cimetière que ses parents, mais heureusement elle n’a toujours pas été oubliée. Si ça pouvait être ainsi pour tout les autres qui reste dans l’ombre.
Parfois éditorial, parfois insolite, mais toujours fait à 100% de bon vieux HTML Canada A fraîchement codé à la main et contenant une forte teneur en PHP!