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19 février 2006: Poésie urbaine

L'odeur d'un souffle s'appelle l'haleine

L’odeur de ton souffle. Ce n’est peut-être pas aussi poétique, mais chez-nous, on appelle ça simplement l’haleine.

José Théodore. Il continue de s’enfoncer dans les pétrins tout seul. Ce n’est pas simplement de la malchance. Quand ce n’est pas les déboires de sa famille ou belle-famille, c’est ses perfomances sur glace ou ses résultats de dopage en raison de la prise d’un médicament contre la perte des cheveux (Ca vient que confirmer l’idée que son apparence compte plus pour lui que ses résultats sportifs et professionnels.). Maintenant, il tombe tout seul sur la glace dans des escaliers. Pourtant, lui, il gagne sa vie sur la glace, ca tombes-tu bien une blessure pour le reste de la saison à ce moment-ci? Ca peut bien expliquer sa valeur sur E-Bay!

Avis aux usagers du système bancaire canadien, le format des chèque changera à la fin de l’année. Par conséquent, la majorité des blancs de chèques actuels ne seront plus valide.
Informations: Standard 006

Aussi, avez-vous réalisé que la grande majorité des épiceries offrant le service au volant ont arrêté ce procédé? Bien qu’on puisse réaliser qu’on sort plus souvent les paniers dans les stationnements, on a réalisé moins concrètement la disparition de ces traditionnelles allées.

Toujours dans le potinage, il est maintenant confirmé que le kiosque de Loto-Québec à l’hôpital psychiatrique Louis-H.-Lafontaine existe toujours. Ne penser pas jouer avant le jour de votre 18e anniversaire, mais si vous avez 18 ans ou plus avec 10 âge d’âge mental, vous êtes assez apte, luicide et responsable pour engraisser les coffres du gouvernement.

En dernier lieu pour aujourd’hui, c’est maintenant fait! L’Université du Québec à Montréal a commencé à gober les terrains de Station Centrale (sic) (autrefois connu comme le terminus Voyageur) et du square Berri. Plus tôt cette semaine, il était possible de voir des coffrages être installés dans le gros trou qui remplace le stationnement des autobus vers la rue Ontario. Au lieu de continuer de s’étendre sur les autres édifices et parcs du centre-ville, n’était-il pas possible d’aggrandir par en-dedans et de construire des étages supplémentaires à leurs bâtiments actuels?