Où est le Kik Cola? Il y a des caisses (« crates ») de vieilles bouteilles vides des années 70 et 80 d’à peu près toutes les sortes inimaginables, sauf Kik. Moment nostalgique.
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Pas fort…
Voici comment plusieurs paysagistes de Victoriaville travaillent mal. La photo montre ce qu’on voit à la sortie d’une courbe. Pas d’autre cône ou quelconque avis, rien. Le tas de terre était là, parce que l’entrepreneur était trop lâche pour vider son tas dans la cour du client sur une toile qu’il aurait étendue ou sur le pavé qu’il laverait plus tard. Pas fort comme job. Que serait-il arrivé si quelqu’un voulant l’éviter aurait fait un face à face dans l’autre voie? Pourtant, ils travaillent toujours ainsi et laisse ce genre de tas dans la rue pour des semaines. On s’installe et aucun souci pour les autres qui étaient dejà là. Aussi, à remarquer, le camion stationné derrière le tas dans le sens contraire du trafic…
L’ironie du shampooing
Entre le prix de l’essence qui augmente et l’inflation des produits d’épicerie, pouvez-vous me dire comment des produits étranges comme le shampooing Caillou existe? Le personnage n’a pratiquement pas un poil sur la tête. N’est-ce pas un peu ironique?
Parlant d’ironie, pouvez-vous me dire pourquoi la police de Victoriaville est venue intervenir sur la rue Boisvert la semaine dernière, parce que des jeunes faisait du sport et mettait de la vie dans le voisinage en jouant au hockey dans la rue? C’est la même ville qui se vante d’être berceau du développement durable et de la vie communautaire.
C’est aussi elle qui accepte de vendre des bouts de rue au secteur privé (Parmalat / Lactancia) pour leur permettre de stationner leurs camions sous menaces de quitter la ville. Vous allez me dire qu’il y a des jobs en jeu, mais pensez-vous que cette compagnie ayant des problèmes sérieux (magouilles à la maison-mère en Italie) aurait véritablement été prête à se payer les coûts d’une usine totalement pour ça? Avant de vendre une rue, ils auraient pu faciliter l’acquisition du terrain vague de l’autre côté de cette même rue…
Le PLC cherche des bénévoles
En raison de l’augmentation soudaine des coûts du carburant et des problèmes financiers du parti Libéral (On ne parlera pas qui l’a floué, mais on le sait.), ils recherchent des bénévoles pour pousser l’autobus du chef à travers le pays. On peut rejoindre la permanence du parti à Ottawa, s’ils ont encore le téléphone et quelqu’un pour y répondre d’ici la fin de la campagne.