Archives de catégorie : archives version 1.0 (Nov. 2004 – Mai 2008)

2 octobre 2006: Classiques

Centre du cuir

Si vous avez dejà écouté la radio montréalaise durant les années 80 et 90, ce nom va vous être très familier. En 2006, l’endroit est toujours en vie.

Ameublement Elvis

Tous savont que le King n’est pas mort. Son célèbre magasin non plus.

Leblanc Patate

Les vrais stands à patates sont de plus en plus rares. Leblanc Patate est une institution dans la région d’Huntingdon (rive-sud de Montréal).

Un petit mot sur le projet qu’a la SAAQ d’instaurer des photo-radars dans la province de Québec. Au nom de la soi-disante sécurité routière, le SAAQ continue de chercher de nouvelles sources de revenus pour épandre la soif de son seul actionnaire, le Gouvernement du Québec. Si la sécurité serait réellement si importante à leurs yeux, ils arrêteraient pour changer radicalement d’orientation, tel en harmonisant la circulation autoroutière par réduisant l’écart de vitesse permise sur ces voies rapides de 60 / 100 km/h à 90-110 km/h respecté ou par une révision obligatoire des capacités de conduire de tout les chauffeurs qui serait faite à tout les 5 ou 10 ans d’expérience pour détecter les incompétents au lieu de simplement blâmer les cibles habituelles et de les taxer encore plus. Et non, encore une fois, on envoie chez le « yable »: le budget de l’organisme n’est toujours pas hermétique et le gouvernement se prépare pour légalement voler l’argent des usagers motorisés mis en réserve pour mieux la gaspiller comme une grande proportion du reste de ses fonds. Pendant que l’attention est porté vers la caisse fédérale de l’assurance-chômage, la population ne réalise qu’elle se fait avoir là-aussi.

Toujours parlant de l’administration des Libéraux de Charest, il y avait peut-être un point qui s’améliorait à travers leurs nombreuses erreurs et idiocies: l’état des routes. Le gouvernement a commencé à remettre un peu d’argent sur des tronçons où il était rendu plus carrosable de rouler dans les champs voisins et il faut continuer dans ce sens. Cependant, l’électorat va totalement oublier ça d’un coup et va chialer de tout les côtés qui fera déplacer encore une fois de plus les véritables priorités du réseau pour des intérêts politiques. Le temps que je me déniaise à aller écrire ces commentaires, un deuxième viaduc a foutu le camp par terre à Laval en moins d’une décennie.

Je propose donc que cette dernière devienne la Capitale mondiale des viaducs qui tombent. Ainsi, la région touristique de Laval pourrait capitaliser sur ce phénomène pour attirer du tourisme scientique, voyeuriste ou autres au lieu de subir le plus fort des conséquences de la mauvaise réputation que le Québec continue de se donner. Justement, malgré le fait de faire rire le continent entier en claimant avoir des normes plus sévères que partout ailleurs, la mauvaise réputation de république de bananes que le Québec continue d’entretenir (contrairement à ses infrastructures) peut bien se propager grâce à la petite gue-guerre ridicule que les médias se font encore une fois durant ces jours de sondage. Après les topos les plus stupides et signifiants pouvant avoir un quelconque lien avec leur nouveau sujet de l’heure, ils vont aller de théories farfulues aux procès d’intention contre n’importe qui avec des spécialistes impertinents à la question ou peu crédibles jusqu’à temps d’atteindre un nouveau fond à leur baril. A continuer de diluer leur produit pour augmenter le volume diffusé, la qualité se perd et l’intérêt aussi..

14 septembre 2006: Projet Les Convertibles

ex-RTC 8152

Il ne fait aucun doute que le projet nommé Les Convertibles et réalisé dans le cadre des Journées de la culture est étrange. Ce qui est plus bizarre, c’est qu’il est difficile d’avoir des informations précises à ce sujet. Normalement, l’art contemporain insiste beaucoup sur l’aspect de la démarche artistique pour se véhiculer. Dans ce cas-ci, outre le choix du sujet par les artistes sélectionnés, les détails s’arrêtent là. Peut-être, il y a un simple problème de communication, mais il a donc été totalement impossible d’avoir une réponse des organisateurs de l’activité à nos questions concernant le projet. Est-ce qu’on a peur de la transparence? Ainsi, il semble qu’on ne veuille pas expliquer comment les autobus sont partis du fond des garages pour arriver dans les mains des artistes mystérieusement choisis: s’agit-il d’une simple vente, d’une location, d’un prêt ou autre chose? Qu’arrivera-t-il des véhicules après leur exposition (diffusion) en fin de semaine à Québec? Vont-ils prendre la route des ferrailleurs, retourner dans le fond des garages des compagnies, se promener en tournée… Le total néant. Il semble qu’il s’agissent de simples questions totalement justifiées, montrant de l’intérêt envers le projet et qui ne sont pas menançantes. En n’ayant pas de réponse, celà a augmenté la curosité envers ces aspects et il a été permis de constater qu’il est encore plus mystérieux de voir des autobus publics de moins de 16 ans servir au projet. Est-ce que c’est le pot aux roses ou la pointe de l’iceberg? A moins, d’avis contraire, il semble que certains en ont profité pour en passer une vite en se débarrassant de leur bois mort avant le temps demandé par la loi. Au Québec, cette dernière demande que les véhicules des sociétés de transport publiques restent au moins 16 ans à leur service.