Voici comment la ville de Victoriaville s’occupe des arbres qu’elle et ses composantes antérieures (Victoriaville, Arthabaska et Ste-Victoire) ont plantés sur les terrains publics. Le soi-disant berceau du développement durable coupe des arbres en bonne santé et sans défaut apparant. Ceux-ci sont situés le long de la bruyante route 116 rebaptisée boulevard Arthabaska et en cours de devenir un autre boulevard Taschereau (même si les élus municipaux et le service d’urbanisme essaie mal de nous faire accroire le contraire). Ce n’est pas la première fois que la ville de Victoriaville et ses sous-traitants privés commettent des gestes douteux de la sorte. Il est d’autant plus ironique que la ville agisse ainsi soi-même quand elle incite les citoyens à planter des arbres et à ne pas en couper sans détenir de permis émis par elle. Pas fort pour une municipalité qui essaie de nous faire accroire qu’elle mise sur le vert.