Dejà qu’il n’est pas très fort pour effectuer correctement la désagréable substitution des signaux obligée par la loi fédérale, un câblodistributeur bien connu, qui fait parti d’un empire très convergeant du Québec, fait actuellement de la publicité en vantant sa fiabilité et en la comparant à celle de la télévision par satellite.
Le problème, c’est qu’au même moment où une de ses annonces montre un client de la télé par satellite qui rate une importante partie de hockey, les clients de la compagnie de câble ont subi ce soir une situation similaire quand leur réseau a arrêté de recevoir et transmettre les signaux d’un grand télédiffuseur.
Pas fort.