La vie est souvent étrange. Parfois, on dirait que tout les idiots de village des environs se regroupent pour se mettre sur votre chemin. Peu importe qu’il s’agisse d’arrêter aux feux de circulation verts comme il s’agissait de lumières rouges, qu’ils se plaignent de se faire dépasser dans les files d’attente qu’ils ont quittés préalamblement ou que ça soit de vous envoyer paître quand vous faites l’erreur de les encourager dans leur commerce, il y a certainement des coups de pied dans le derrière qui se perdent. C’est sans compter tout ceux qui manque d’éducation ou de savoir-vivre (et qui souvent cherchent dans le plus grand ridicule à revirer inutilement leur tort dans cette situation contre les autres.). Toujours en parlant de ridicule, le Grand prix de Formule un des États-Unis de cet année l’a été. Encore une fois de plus, ce circuit se casse la gueule aux États-Unis.
Au moins d’un autre côté, il y a des gens comme Louis-Philippe Vézina, ce chercheur pionnier de la moléculture qui sont là pour mettre de l’équilibre dans la balance mondiale. Son entreprise, Médicago de Québec (associé au géant Bayer), vient de faire les manchettes suite à un reportage élogieux au Point de la société Radio-Canada. Le concept de la moléculture est de produire des protéines habituellement animales sur des supports végétaux (tel de la luzerne) en serre. Ainsi, cette modification génétique contrôlée permet de développer une toute nouvelle alternative intéressante visant la création de nouvelles sources de protéines et d’ingrédients médicinaux pour soigner des maladies souvent incurables pour l’instant. Ca, c’est brillant. Arriver à penser à des solutions aussi songées de ce type est valorisant pour racheter le côté sombre de ce genre humain qu’on voit tellement trop souvent s’abrutiser parfois.