La Ligue nationale de hockey a encore été égale à elle-même et à sa réputation de broche à foin. Au lieu de s’attaquer au problème de l’augmentation des coups vicieux pouvant mener à des blessures graves, elle cherche à éliminer l’aspect en perte de vitesse que sont les batailles. C’est cette même ligue de garage qui détermine la gravité d’une punition selon si le joueur accroché saigne ou non. Il est dans le coma, mais ne saigne pas: deux minutes. Il saigne d’un gencive ou sa coupure de son rasage repart à saigner: quatre minutes! Quelle classe pour une ligue également reconnu pour son racisme envers les francophones et changer ses semblants de règlements à chaque saison (et même entre la saison régulière et les séries). Ce soir, on a eu encore une preuve de plus à la théorie que les matchs sont truqués. Les Sabres de Buffalo se sont faits refuser un but en fin de match qui aurait pu égaliser le pointage et exiger la tenue d’une prolongation. Oui, il y avait un doute parce qu’on ne voyait plus la rondelle quand elle a rentré dans le but, mais il était bon. C’est étrange que Buffalo se fasse faire un coup du genre après que New York ait pu éviter une punition méritée au dernier match. C’est sûr, ça permet aux Rangers de gagner cette partie d’un quatre de sept. New York est un plus gros marché que Buffalo et c’est plus payant. Caroline-Edmonton, ce n’était pas trop rentable comme finale. On se rappelera de la note de service envoyée par la ligue il y a quelques années et demandant aux arbitres d’ajuster le nombre de punitions pour avantager les clubs américains…
Également, après avoir vu la programmation de TVA diffusée dimanche dernier, leur slogan devrait plutôt être « TVA, rien ne se perd, rien ne se crée. ».