Une équipe d’Hydro-Québec s’affaire à poser un fil dans un poteau le long d’une rue. Que ça soit un remplacement ou l’ajout d’un nouvelle ligne, les travaux se font le long d’une très large artère à quatre voies, voir virtuellement six.
Dans ce cas, peut-on m’expliquer la pertinence d’engager deux signaleurs routiers et de louer leur camion avec une flèche sur le toit quand il y a dejà des cônes oranges?
Si la flèche est si importante, pourquoi ne pas simplement en faire installer sur le derrière d’un des camions d’Hydro-Québec ou en trainer une eux-mêmes sur une remorque? Mais non, on continue de dépenser à fort prix pour que les deux « flagmen » soient présents et n’aillent rien d’autre à faire que regarder les gars de l’Hydro travailler dans leur nacelle.
Connaissance de soi
Est-ce que c’est de la connaissance de soi qu’un partisan du Canadien de Montréal appose un logo de son équipe sur son bac de recyclage au moment que son équipe connaisse l’une des pires saisons de son existance centenaire et qu’elle ne fasse pas les séries?
Le maire de Trois-Rivières a déjà dit que sa ville ne rapièçait pas les trottoirs avec de l’asphalte parce que ça donnait une mauvaise image du centre-ville.
Pourtant, c’est la norme à une heure de route de là, soit à Victoriaville, où souvent même les réparations faites à l’asphalte manquent sur les trottoirs et dans les rues. Je peux comprendre que des travaux à la borne-fontaine (photo de gauche) ont crée un manque, mais quoi dire de la situation recontrée typiquement dans la municipalité des Bois-Francs (photo de droite)?
Est-ce que ça veut dire que ce qui n’est pas assez bon pour Trois-Rivières l’est pour Victoriaville?
Remarquez aussi que sur la photo de gauche, la borne-fontaine porte toujours une étiquette orange indiquant qu’elle est toujours hors-service. Une chance que la rivière est proche, parce qu’elle va être utile en cas de feu…
P.S. J’ai essayé de retrouver la source exacte de la citation du maire de Trois-Rivières, mais sans succès. Si quelqu’un l’a, il est invité à la partager. Merci.
Tel que vu aux portes d’un grand magasin de Sherbrooke. Ils annoncent qu’ils offrent « le prix américain sur les cartes de souhaits, papiers d’emballage, choux, livres et magazines ». Wow! En raison de la pression de la clientèle qui voulait un réajustement de prix dû à la parité du dollar canadien avec son homologue américain, ils vendent ces items au même prix. Bonne idée, si ça serait en général, mais qui va magasiner à Plattsburgh ou Burlington uniquement pour acheter des choux pour les cadeaux? Comme si c’était de quoi que tous achètait régulièrement. Pourtant, ce n’est pas plutôt comme un pot de Vaseline, le type de chose qu’on peut vivre de nombreuses années avec le même stock sans jamais en manquer?
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